9 septembre 2010
En moi, vous avez afflué Vous m'avez étranglé le
En moi, vous avez afflué
Vous m'avez étranglé le coeur
je n'avais plus que la rancoeur
Contre la foule et ses huées
Et puis vous m'avez dénué
Du sens commun, sur les vainqueurs
Avez piqué, inquisiteurs
Les avez pris dans vos nuées.
Oui, mes bienfaitrices, vengez
Celui qui vous jette son âme
Comme un maître donne à manger
Détruisez sans tristesse vaine
Les instigateurs de mes drames
Ceux qui ont mérité ma haine.
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